Pineau ou chameau?
Que ce soit sur les tables de fêtes populaires ou familiales, le melon fait souvent bon mariage avec une petite « trempée » d’alcool remplaçant l’emplacement de ses graines.
Coupé en 2, voilà donc le bon réceptacle à quelque bon alliage comme les « apéros » locaux (“Epine” ou “Merisier”)… sinon « Chameau ».
Interrogatif sur cette appellation, l’explication nous en fut donnée par feu Alain Godineau. Il s’agissait bien de « pineau », mais l’appellation étant protégée, on parlait alors pour le même produit fabriqué en local, de « Chameau ».
Pourquoi « Chameau »? …Et bien parce que c’est de l’apéritif de « belle-mère »…
Anecdote
Le melon des Mousquetaires
On aime à entendre en Richelais, pays comme celui du Loudunais, du melon mais aussi des Mousquetaires, qu’Alexandre Dumas, auteur de l’ouvrage “Les Trois Mousquetaires« , adorait les melons de Cavaillon.
Il aimait à ce point le melon qu’il offrit à la ville les 400 volumes de son oeuvre en échange d’une rente viagère représentée par… 12 melons par an!
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